La rivière Saint-Maurice.

Je ne m'étais pas rendu compte à quel point ma ville natale, vu de la montagne de la croix lumineuse, occupait si peu de place dans la forêt mauricienne.

Rue Saint-Joseph.

Pont suspendu de la rive ouest.

Le pont suspendu est assez étroit pour le passage serré d'une voiture et assez large pour avoir le vertige à regarder passer l'eau de la rivière à travers les mailles du plancher.

Cour de l'École Centrale.

Rue Kitchener.

Ensemble de maisons de la rue Joffre.

L'usine de pâtes et papiers.

Trottoir de la rue Hitchener et de la rue Saint-Benoît.

Muret de la côte de la rue Gouin.

Le lac Saint-Louis. Havre de paix au coeur de la ville.

Maison de la rue Gouin et de la rue Tessier.

Promenade du lac Saint-Louis

Le O-100-20, salle de spectacle en bordure du lac Saint-Louis. Ce restaurant fut pendant de longues années un lieux de rassemblements de fin de semaine dansantes. Plusieurs groupes de musiciens connus s'y sont produit dans les années '60.

L'escalier du lac Saint-Louis.

L'usine de pâtes et papiers.

Rue Saint-Joseph.

Porte de l'église anglicane de la rue Bekler.

Rue Commerciale.

Commerce de la rue Commerciale.

Rue Commerciale.

Rue Saint-Antoine.

La porte secrète du magasin Frank Spain.

La ville de La Tuque s'est construite autour de la gare ferrovière du ( Canadian National Railway ). Dans le années 1900, le seul moyen de transport pour se rendre au coeur de la mauricie.

Parc de la petite rivière Bostonnais.

Chute de la petite rivière Bostonnais.

Pont Ducharme

La petit bourg de La Croche situé au nord est de la ville de La Tuque, possède encore deux ponts couvert sauvegardés au fil des ans, il s'agit du pont Ducharme et Thiffault qui ont été érigés en 1946 pour traverser la rivière La Croche.

La chaise géante du parc de l'église Saint-Jean-Bosco de La Croche.

Abri du belvédère d'un des Sentiers Haute-Mauricie du club C3R ( Club des Trois Raquettes ) situé à proximité du centre de ski et de la croix lumineuse.

À propos des auteurs

Le soleil, les arbres, les oiseaux, le ciel et l’eau bleue qui coule lentement. Le calme de la campagne et ses verts paysages, la ville pour la chaleur de ses anciens murs de pierre et ses architectures changeantes, ses bruits et ses clameurs.

Le vent qui froisse les feuilles jaunes en hiver et les fleurs multicolores où bourdonnent les bourdons en été. Les vastes horizons que sillonnent de petits chemins entre des collines vertes. La couleur du temps le matin et le rouge du soir, la nuit bleue et le gris des chats sous la lune blanche.

Les images, celles qui sont d’ici ou d’ailleurs, celles qui racontent une histoire, un voyage, celles qui donnent le goût d’aller plus loin, de voir la vie sous toutes ses formes, de l’immensément petit à l’infiniment grand de notre planète.

Toutes ces photographies sont là pour le plaisir que j’ai passé à immortaliser ces moments qui resteront gravés sur un support quelconque, alors que ma mémoire pourrait s’effacer ou disparaître. Pour le plaisir aussi de ceux et celles qui aiment voyager dans la mémoire photographique des nombreux sites d’images que propose le Web.

Bonne lecture

Alain LeSieur