Un village historique.

Après avoir roulé près de 300km. avec la mer et ses bonnes odeurs salines du large à proximités, nous décidons de faire une halte d'une journée au pittoresque village de Sherbrooke.

Vers 1860s, près de la rivière St. Mary's, cette petite communauté connue un boom de prospérité grâce à la venue de chercheur d'or. Aujourd'hui ce jolie petit village revit à une époque de 100 ans en arrière et devenir le plus grand musée provincial de la Nouvelle-Écosse.

Au village l'aventure se vit a tous les jours comme à l'époque et toutes les activités se pratique en costumes des années 1860, forgeron, travailleur du bois, pharmacien, fabriquant de chapeau, magasin et boutiques diverses vous offres leurs produits comme autrefois.

La téléphoniste du village.

Coquette petite maison.

Une rue du village.

Le studio.

Le magasin général au village musée.

La boutique de porcelaines.

Comme à l'époque.

Grande salle des Franc-Maçons.

Village de Sherbrooke.

La sympatique rue principale du village était paisible cet après-midi là. Beaucoup plus achalandée ordinairement la fin de semaine.

La chapelle.

Le pharmacien et son chat.

La pharmacie.

Le Pharmacien.

Sa bonne humeur s'est vite propagée, comme un bon médicament d'époque qu'il sait préparer à la demande de ses visiteurs ayant différents malaises. Son entregent guérit bien des maux.

La petite ferme.

Confection d'un cerfvolant à l'ancienne.

Salle d'une école.

La boutique pour femme.

Personnage en costume d'époque.

Atelier de tissage.

La vieille pompe a eau.

Édifice municipale le palais de justice.

Village musée de Sherbrooke N.É.

C'est sur des allures d'orages que nous quittons ce fabuleux village et reprendre notre route vers Philips Harbour notre prochaine halte pour la nuit.

À propos des auteurs

Le soleil, les arbres, les oiseaux, le ciel et l’eau bleue qui coule lentement. Le calme de la campagne et ses verts paysages, la ville pour la chaleur de ses anciens murs de pierre et ses architectures changeantes, ses bruits et ses clameurs.

Le vent qui froisse les feuilles jaunes en hiver et les fleurs multicolores où bourdonnent les bourdons en été. Les vastes horizons que sillonnent de petits chemins entre des collines vertes. La couleur du temps le matin et le rouge du soir, la nuit bleue et le gris des chats sous la lune blanche.

Les images, celles qui sont d’ici ou d’ailleurs, celles qui racontent une histoire, un voyage, celles qui donnent le goût d’aller plus loin, de voir la vie sous toutes ses formes, de l’immensément petit à l’infiniment grand de notre planète.

Toutes ces photographies sont là pour le plaisir que j’ai passé à immortaliser ces moments qui resteront gravés sur un support quelconque, alors que ma mémoire pourrait s’effacer ou disparaître. Pour le plaisir aussi de ceux et celles qui aiment voyager dans la mémoire photographique des nombreux sites d’images que propose le Web.

Bonne lecture

Alain LeSieur