Notre randonnée débute sur le sentier Les Anses, étroit et bien enneigé pour la pratique de la raquettes ce sentier se faufile entre les caps et les baies tout en offrant de nombreux point de vu spectaculaires.

L'anse aux Bouleaux-est, de l'autre côté du havre du Bic, l'île Brûlé et l'île du Massacre.

Cet anse et celle de l'anse à l'Orignal sont fréquentées au mois d'août et septembre  par des phoques gris et commun, se prélassant sur les blocs glaciels, parfois jusqu'à la pointe aux Épinettes.

Le passage dans le creux du Cap Enragé pour se rendre à l'Anse aux Bouleaux-Ouest. La lumière y était particulièrement favorable à la photo.

L'Anse aux Bouleaux-Ouest.

Face au Cap Caribou.

Mystérieux tronc perçant la neige en bordure du sentier de l'anse aux Bouleaux-ouest.

Rosier sauvage en feuilles.

Halte sous le Cap Caribou.

Montée facile dans un creux du Cap Caribou pour se rendre à la route #1 qui conduit au sentier de la Pointe aux Épinettes. Un sentier en sous bois longeant la route sur près de 500 m., serait plus commode et sécuritaire pour les randonneurs qui doivent marcher en bordure de route.

Derrière ces frêles trembles, au dela du Marais Salé, le mont Chocolat.

Sur le sentier Le Portage, au loin le Pic Champlain et la montagne des Moutons dans le secteur de Saint-Fabien-sur-Mer.

Sentier Le Portage.

Rangée de Sorbiers en fruits.

Le sentier Le Portage et ses voies multi fonctionnelles pour les randonnées pédestres, la raquettes et le ski de fond.

Le cap de l'Île aux Amours, aussi appelé l'Île à D'Amour.

Nous sommes à l'aube du deuxième jour dans le Parc national du Bic, bien entendu il ne faut pas manquer le lever du soleil, en mars il n'est pas trop tôt soit vers les 6.00hrs. quoique un peu trop sud est du côté du Havre du Bic. L'ambiance est quand même au rendez-vous.

Au cour de la nuit des crêpes de glace ce sont formés, donnant avec la lumière matinal de beaux petits spectres.

Anse à Doucet et la Baie des Roses.

La yourte #1 à quelques pas de l'Île-aux-Amours.

La Baie du Ha! Ha!, flanqué du Pic Champlain et ses murailles et de la Montagne des Moutons. 

Interprétation au Centre de découverte et de services-Ferme Rioux.

Trembles sur le sentier de La Colonie en bordure de La Baie des Cochons.

L'Anse à Wilson.

Amoncellement de boules de glace roulés sur la plage de l'Anse à Wilson.

De l'Anse à Wilson, belle perspective sur l'Anse des Pilotes et la pointe du Cap Enragé ouest.

Le Sentier de La Grève.

Un réseau de plus de 25 Km. pour la randonnée pédestre, la pratique de la raquettes et du ski de fonds  permet aux visiteurs d'arpenter le parc entre baies et anses.

Bouleaux sur le Sentier de La Grève.

Nous n'avons pas eu l'occasion d'appercevoir les propriétaires des nombreuses traces dans la neige, de chevreuils, renards et lièvres. Sans doute que la traîne bruyante de nos raquettes les tenaient éloignés bien camouflés dans le couvert forestier à nous regarder passer au loin.

L'Anse à Voilier.

De joyeux randonneurs sur le sentier du Cap à l'Orignal.

Spectaculaire formation rocheuse au pied du Cap à l'Orignal. Encore plus impressionnante en hiver.

Au large du Cap à l'Orignal, est situé l'Île Biquette, aire de nidification protégée de l'Eider à duvet qui viens se nourrir sur la plage du cap.

II est temps de résenter notre joyeux groupe de randonneurs, Carole, Joël, Hélène, Geneviève, Serge et Alain, qui ont partagés, de fabuleux sentiers, de la patience envers le photographe, les repas communautaire ainsi que les nuits blanche à nourrir le poêle à bois, sans oublier les stratégies aux parties de carte de Alain. Que de merveilleux souvenir pour nous tous.

Sous la toiture du chalet Lyman, nous avons pris la pause pour le lunch.

Le passage sur le Chemin du Nord.

Le chalet Desjardin est un relais chauffé de l'Anse Wilson qui peut accueillir les randonneurs.

La Baie des Ha! Ha! au pied du pic Champlain et la montagne des Moutons.

Tourmente dans la Baie des Ha! Ha!

Monument de glace dans le secteur des Îlets du Quai.

Quai de glace sur le Havre du Bic.

Amoureux de la nature assistants au coucher du soleil près de l'Île aux Massacre.

Tout au bout du chemin du golf, de l'autre côté des Îlets du Quai, se trouve l'Île Brûlée et l'Île du Massacre. La vue sur le bassin du Havre du Bic est superbe et le meilleur endroit pour les coucher de soleil.

Havre du Bic sous son couvert de glace au soleil couchant.

Le village du Bic vu du parc de la croix.

Entre la montagne du Bûcheron et l'île à d'Amours, au loin avec ses tours de communications, le pic Champlain, le plus beau point de vue du parc à 346 mètres d'altitude.

C'est le 17 octobre 1984 que fut officiellement constitué le parc national du Bic. Situé dans les municipalités de Bic et de Saint-Fabien, d'une superficie de 33 km . Le parc est constitué d'une alternance de caps et de pointes rocheuses de schistes ardoisiers et de calcaires, ainsi que de nombreuses baies et anses. La flore se situe entre forêt feuillue et forêt boréale, d'affinité arctique-alpine et subartique également composé de plantes communes et de plantes rares sur les caps rocheux.

Les Îlets du Quai. En font parties l'Île Brûlé et l'Île du Massacre. Une légende serait à l'origine de l'appellation de cette île, on rapporte que vers les année 1500, le massacre d'amérindiens dans une petite grotte de cette île.

Saint-Fabien-sur-Mer.

Tout au bout du chemin de Saint-Fabien-sur-Mer se trouve une seconde entrée du Parc Nationl du Bic, du stationnement, vous avez accès à l'Anse à Caplant et le sentier de l'Îlet au Flacon ainsi que l'Anse à Mercier.

Le belvédère Raoul-Roy et la vu spectaculaire sur le Pic Champlain.

Du belvédère Raoul-Roy 150m., voici une superbe vu sur la pointe ouest de l'Île du Bic et son petit phare.

À propos des auteurs

Le soleil, les arbres, les oiseaux, le ciel et l’eau bleue qui coule lentement. Le calme de la campagne et ses verts paysages, la ville pour la chaleur de ses anciens murs de pierre et ses architectures changeantes, ses bruits et ses clameurs.

Le vent qui froisse les feuilles jaunes en hiver et les fleurs multicolores où bourdonnent les bourdons en été. Les vastes horizons que sillonnent de petits chemins entre des collines vertes. La couleur du temps le matin et le rouge du soir, la nuit bleue et le gris des chats sous la lune blanche.

Les images, celles qui sont d’ici ou d’ailleurs, celles qui racontent une histoire, un voyage, celles qui donnent le goût d’aller plus loin, de voir la vie sous toutes ses formes, de l’immensément petit à l’infiniment grand de notre planète.

Toutes ces photographies sont là pour le plaisir que j’ai passé à immortaliser ces moments qui resteront gravés sur un support quelconque, alors que ma mémoire pourrait s’effacer ou disparaître. Pour le plaisir aussi de ceux et celles qui aiment voyager dans la mémoire photographique des nombreux sites d’images que propose le Web.

Bonne lecture

Alain LeSieur